Planète-Vie et le Jane Goodall Institute organisent un symposium sur l’interdépendance du monde vivant à Bruxelles du 13 au 15 mai 2016.
Le concept d’interdépendance et de solidarité entre les différentes formes de vie se confronte au modèle néo-Darwiniste de la compétition conditionnant la vision du monde de nos sociétés occidentales. Ce modèle pourtant est en contradiction avec les lois fondamentales de l’évolution et qui montre actuellement ses limites.
Les fondations d’un respect mutuel doivent être posées avant que ce jeu de l’interdépendance ne puisse avoir lieu. Le symposium mettra en avant les arguments logiques concernant le statut de toutes les créatures et en particulier du droit des animaux à être considérés des personnes légales non-humaines.
Ce symposium invite des scientifiques et penseurs à présenter les différents aspects de ce concept et à proposer des possibles solutions aux parties prenantes belges et européennes. Le symposium se clôturera par un débat avec le public qui pourra exprimer sa vision et nourrir la discussion.
Apprends plus:
“Un être humain fait partie d’un tout que nous appelons l’Univers; il demeure limité dans l’espace et le temps. Il fait l’expérience de son être, de ses pensées et de ses sensations comme étant séparés du reste – une sorte d’illusion d’optique de sa conscience. Cette illusion est pour nous une prison, nous restreignant à nos désirs personnels et à une affection réservée à nos proches. Notre tâche est de nous libérer de cette prison en élargissant le cercle de notre compassion afin qu’il embrasse tous les êtres vivants, et la nature entière, dans sa splendeur.”
Albert Einstein